Les plus grands DJ

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A bientot!!

L’aventure de Fedde le Grand a commencé lors de sa tournée dans l’un des plus prestigieux clubs, le Danssalon à Eindhoven où il devient résident.

Le Dj se fait une solide réputation et ne tarde pas à se produire dans les plus gros clubs. Depuis 1998, Fedde le Grand est considéré comme le DJ incontournable du pays grâce à son énergie.

Son succès dépasse même les frontières puisqu’on l’entend en France, en Allemagne, en Grèce ...

La rencontre de Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem Christo (Daft Punk) se fait dès l'année 1987 au lycée Carnot à Paris. En 1992, les deux compères fondent un groupe de rock, Darlin', avec lequel ils enregistrent leur premier single sur le label indépendant anglais Duophonic. Cependant le succès n'est pas au rendez-vous : le titre se vend à environ 1500 exemplaires et le groupe n'a quasiment aucun impact sur la scène française. Une critique du magazine d'Outre-Manche Melody Maker ira même jusqu'à qualifier la musique du groupe de « daft punk », que l'on pourrait traduire par "punk idiot" ou "punk débile".

En 1993, lors d'une rave party au parc Eurodisney, les Darlin' rencontrent les responsables du label écossais Soma. Entre temps, Thomas et Guy-Manuel ont commencé à travailler sur des machines électroniques telles que le sampleur. Le duo enregistrera une année plus tard sous le nom Daft Punk le cd deux titres The New Wave / Alive. Les sonorités y sont clairement électroniques et à défaut de succès retentissant, la « techno adolescente française » des Daft Punk retient l'attention de quelques journalistes et critiques anglais. L'année 1995 est celle de leur premier succès, le groupe sort le maxi électro-rock Da Funk / Rollin' & Scratchin' . Le succès est immédiat, et le titre se répand petit à petit dans les clubs d'Europe.

Thomas crée son propre label, Roulé, sur lequel il sort le très remarqué Trax On Da Rocks. Tout s'enchaîne pour les Daft Punk qui font la première partie des Chemical Brothers à Londres. En France, ils sont repérés par la maison de disque Virgin ; c'est ainsi qu'ils font une apparition sur la compilation Sourcelab vol.2 du label Source (qui fait partie de Virgin) avec le titre « Musique », en 1996. Source est dès lors le premier label à diffuser les Daft Punk en France.

Homework

Suite à la sortie du single de « Da Funk », le 13 janvier 1997, les Daft Punk sortent le 20 janvier de la même année leur premier album Homework. Le succès est extrêmement rapide : 2 millions d'exemplaires se vendent dans 35 pays différents en l'espace de 2 mois. On y retrouve ce qui fait le succès des Daft Punk, un mélange de sons d'origines diverses et variées, de la house aux rythmes techno directement inspirés de la scène de Chicago. La presse généraliste et spécialisée fait l'éloge de l'album, qui conquiert rapidement la jeunesse internationale. Le titre Around the World (dont le clip est signé par le réalisateur Michel Gondry), initialement issu du tube électronique des années 70 Popcorn, fait un tabac dans les charts européennes et nord-américaines.

Daft Punk acquiert dès lors une notoriété internationale, et entame sa première tournée mondiale de 40 dates d'octobre à décembre 1997. Le spectacle y est totalement aléatoire, en effet, le concert dure parfois jusqu'à 5 heures.Plus qu'un simple album de musique électronique, Homework révèle une multitude de facettes. Emblématique de la french touch, il démocratisa la « house filtrée », et ses conditions de mixage parfois aléatoires influèrent sur ce que les critiques appelleront le « son Daft Punk ». Le succès de cet album constitua un excellent tremplin qui permit à d'autres groupes de se révéler, insufflant un vent nouveau à la scène électronique française et mondiale.

Discovery

En 2001, cinq ans après le phénomène Homework, les Daft Punk reviennent avec l'album Discovery. À la fois encensé et critiqué, il entraîne des controverses aussi bien chez les fans de la première heure que chez les journalistes. Très orienté pop voire disco, l'album s'inspire grandement de certaines références culturelles des années 1980. Il laisse aussi une place importante aux voix vocodées : Thomas et Guy-Manuel s'essayent eux-même au chant sur plusieurs titres. Le succès commercial est là encore particulièrement au rendez-vous.

Un peu plus tard, les critiques s'apaisent et l'album fait la quasi unanimité lorsque sort au cinéma le film d'animation Interstella 5555 : The 5tory of the 5ecret 5tar 5ystem réalisé au Japon par Leiji Matsumoto, créateur du célèbre Albator. Le public découvre, par delà les images, une bande son imaginative et ludique, qui n'est autre que l'album Discovery.

Human After All

Le 14 mars 2005 sort le troisième album des Daft Punk, Human After All, qui marque un tournant dans la carrière de nos deux androïdes, qui revendiquent par le titre de cet album certainement leur côté « humain » mais qui traduit aussi les fuites de notre société vers la plus complète déshumanisation.
Avec des titres évocateurs comme peuvent l'être Prime time of your life, Television rules the nation ou encore Technologic, les Daft Punk ne traduisent-ils pas la surabondance de futilités dont nous sommes simples spectateurs?
Cependant, cet album reçoit un accueil contrasté et déchaine une nouvelle fois les critiques d'une partie des fans qui regrettent Homework. Certains le trouvent trop répétitif, sans nouveauté (Robot Rock est ainsi une simple reprise du thème de la chanson Release The Beast de Breakwater) et sans vie (ce qui contraste insolitement avec le titre de l'album, Humain après tout en français) alors que d'autres le voient comme un concept album fabuleux et novateur.

Musique Vol.1 1993-2005

En 2006, le groupe sort son premier best-of. Parallèlement, une tournée commence avec des dates aux États-Unis (Festival Coachella le samedi 29 avril 2006, devant 35 000 personnes), en Belgique (festival Pukkelpop), au Japon mais aussi en France (les Eurockéennes de Belfort) Seulement 9 dates ont été prévues pour cette tournée. Le groupe se produit niché dans une pyramide au milieu de la scène, habillé de costumes de robots.

Le Best of est disponible en trois versions : CD, DVD et Deluxe.Le CD est constitué de 11 titres extraits des 3 albums studio, de 3 remixes réalisés par les Daft Punk à l'époque d'Homework, ainsi qu'un morceau daté des débuts mais inédit en album : Musique. Le DVD contient douze clips, dont 2 inédits : Robot Rock (Maximum Overdrive), et Prime Time Of Your Life. L'édition Deluxe regroupe tout simplement le CD et le DVD dans un seul coffret.

Roger Sanchez n’est pas le petit-fils de Papi Sanchez, mais il est lui aussi, sans canne et lumbago, sur le dancefloor – dans la fièvre du samedi soir – ou sur les ondes radios.

Roger Sanchez n’est pas un papi, mais il voit le jour en 1967, à New York, dans le quartier du Queens. Très tôt, il commence à mixer. Mixeur, il devient aussi le breakdancer du voisinage. Si « c’est en forgeant qu’on devient forgeron », c’est à force de mixer que Roger Sanchez investit la scène house-électro au début des années 90.

En 1990, il sort « Luv Dancin », un single. Ensuite, il travaille sur des morceaux de Michael Jackson, Diana Ross, ect. En 1994, Roger Sanchez, au son joyeux et rythmé, sort un tube dub et latino : « Samba Lumba ». Ensuite, Roger Sanchez devient S-Man et collabore avec Junior Sanchez et DJ Sneak. En 1998, Roger Sanchez se retrouve dans la B.O. de « Blade ».

Le producteur sort son premier album solo seulement dans les années 2000. Depuis le bien intitulé « First Contact », même quelques dix ans après son premier contact avec le public, Roger Sanchez sort régulièrement des compilations à ravir Ibiza. Après le succès de « Release yourself » ou d’ « Another chance », Roger Sanchez (Ft. GTO) revient avec un tube en puissance : « Turn On the Music ». La voix rauque et profonde de GTO met en relief le rythme de ce morceau parfait pour les clubs.

Du Queens au « Queen », le club parisien, la boucle est bouclée. Joué partout, sur les plages, dans les salles obscures des clubs et des cinémas, on retrouve aussi Roger Sanchez au cirque, le Cirque du Soleil avec lequel il a collaboré.

Après avoir passé près de 10 ans dans la musique Hip hop, Yves Larock se prête aujourd'hui et depuis maintenant quelques années à la musique House.

Nouveau producteur de la scène House, tout débute à la fin des années 80 quand il commence par des productions Hip hop. Amoureux inconditionnel de la musique, Yves Larock se fait ensuite rattraper par la vague House et commence alors à sortir quelques productions.

C'est en 2004 qu'il fait ses véritables débuts dans la musique House en tant que producteur, tout en continuant ses projets consacrés au Hip Hop. L'année 2005 est pour Yves Larock un grand cru puisqu'il obtient son premier Maxi « Red Dragon » sorti sous le label français Royal Flush, suivi de « Zookey » produit par Africanism.

A tout juste 29 ans, Yves Larock secoue déjà la planète House toute entière avec des hits envahissants, plébiscités par le gratin mondial des Dj's et producteurs.

Pionnier de la FM en France, Didier Sinclair sévit dès janvier 1982 sur différentes radios locales de Montpellier comme animateur et Dj.
En 1984, Didier Sinclair intègre l'équipe de NRJ Montpellier puis, de 1986 à 1991, celle de Fun Radio.De 1987 à 1991, Didier Sinclair assure une résidence de DJ dans le club le plus pointu du sud de la France : le Phébus. Didier Sinclair s'impose alors comme l'un des précurseurs du mouvement House, ce qui, en plus porté par son succès, le poussera à venir sur Paris fin 1991.

En 1992, RADIOFG, première radio à avoir adopté un format “musiques électroniques” en France et dans le monde, lui propose un show quotidien mixé. En 1993, Didier Sinclair se voit confier la programmation musicale de RADIOFG et sort en parallèle une compilation mixée pour la radio: "Rave Action"; suit un volume 2 qui se vend à près de 15000 exemplaires.
En Octobre 1994, Didier Sinclair interrompt sa collaboration avec RADIOFG pour contribuer au développement du projet Going Global Series (G.G.S), un label de musiques électroniques créé et hébergé par BARCLAY (groupe UNIVERSAL), aujourd'hui devenu Sound of Barclay (S.O.B). Didier Sinclair y cumule deux fonctions, Consultant et Directeur Artistique en matière de Dance pour Barclay. Un poste qu'il occupera de Juin 1995 à Février 1997.

En mars 1997, Didier Sinclair est élu quatrième DJ français, d'après le référendum organisé par le magazine Coda auprès de ses lecteurs.
Octobre 1997, il réintègre le cercle des Djs résidents de Radio FG et rejoint dès septembre 1998, l'équipe de la programmation musicale. Il réalise, aujourd'hui, le track listing des compilations DANCEFLOOR FG et mixe le lundi et le mercredi de 22h à 23h dans le show : CLUB FG.

Mai 1995, Didier Sinclair sort son premier maxi sur G.G.S, sous le nom de projet : MONT BLANC - "The Flash it Ep". Suivra en mars 1996 "The funkysterix Ep". En Octobre 1998, il entame une collaboration artistique avec le label SERIAL RECORDS qui donnera naissance en Janvier 1999 à son premier maxi signé sous son nom d'artiste Didier Sinclair "Mind games Ep". Il est suivi en décembre 1999 d'un deuxième maxi chez SERIAL RECORDS, "Groove 2 me". Puis le 28 août 2000, il sort 'Lovely connaît un succès à échelle mondiale (50 000 copies vendues) et qui justifie en 2001 une sortie en CD single chez Virgin/ France, N.E.W.S/ Benelux, MRP/ Canada et un clip en rotation sur MTV France, MTV Japan, Viva, Fun TV et MCM...Début 2002, c'est son 4° maxi "Galactix" chez SERIAL RECORDS qui voit le jour. 2004 démarre avec la sortie d'une nouvelle version de “Groove 2 me” avec un remix de Wally Lopez, qui annonce la sortie de son projet d'album co-produit par Dj Chris Pi.

Didier Sinclair est aujourd'hui l'un des principaux DJs House de la scène française. Il se produit dans de nombreux clubs ( Queen, Rex Club...) (Résident Club BPM au Redlight- Paris)dans les principaux clubs de province, dans différentes tournées et festivals français : Boréalis, D-Mention, Métropole, mais aussi à l'étranger. Didier Sinclair exporte son talent dans des villes comme Amsterdam, Anvers, Barcelone, Belgrade, Berlin, Beyrouth, Dubai, Hammamet, Ibiza, Johannesburg, Lausanne, Le Cap, Lisbonne, Londres, Miami, Milan, Moscou, New York, St Martin, Singapour, Tokyo, Tunis... La liste est longue !

John Dahlbäck est né en 1985 dans un petit village près de Stockholm. Ayant grandi dans une famille de musiciens, il n'était donc pas étonnant qu'il se tourne vers ce domaine.

Il enregistra sa première démo à l'age de 15 ans qui n'eut aucune suite. Mais sa seconde démo eut plus de succès. Elle sortit sur le label Route33 et son premier 12 sortit sur Deep4Life ce qui lança John dans la cour de grands. Après "Music So Sweet", ses productions continuèrent de sortir sous son propre label fondé avec son cousin Jesper.

Connus sous le nom de "Hugg et Pepp", les cousins ont créé un duo mondialement connu. Grâce à ce label et à ses sorties, Dahlback commença à se faire connaître dans le milieu de la production de musique.

En créant le label Pickadoll, John eu finalement sa propre griffe avec des artistes comme Özgur Can, Sébastien Léger, Dada Life, Zoo Brazil, Robbie Rivera, Laidback Luke

Déjà petit garçon, Steve rencontre les merveilles et les plaisirs de l'Athen Club dans lesquels son père se déplace. Profondément enthousiasmé par cet univers émergeant, et incroyablement doué, Steve obient sa première résidence en club à Stockholm.

Le jeune prodige de 16 ans mixe pendant des heures durant dans de petits clubs dans l'unique but de subvenir aux besoins de sa famille. Très différents des autres adolescents de son âge, il est en constante relation avec des DJs beaucoup plus âgés que lui, ce qui lui confère une grande maturité tant scénique qu'artistique.

Les premières expériences de Steve en studio avec son meilleur ami Sebastian voient la naissance des tracks "Freshly Squeezed" et "Echo Vibes" sortis sur le label Joia Records. Cette étape marque un changement brutal dans la carrière de Steve. C'est à ce moment qu'il se découvre une nouvelle passion pour la House Music, fortement influencé par les Daft Punk, son modèle de l'époque. En effet « Echo Vibes», est rapidement remixé par Eric Prydz, devenu aujourd'hui son grand ami et membre de la célèbre Swedish house Mafia.

Aujourd'hui Steve, Sebastian (Ingrosso), Eric (Prydz) et Axwell sont connus à travers le monde entier tant pour la qualité de leurs sets que pour leurs productions.

La Suède nous a habitués aux canons de beauté blonds et à des groupes à la ABBA. Mais sur place, les critères sont un peu différents. Les brunes ne comptent pas pour des prunes. La musique, Axwell en est la preuve, ne se réduit pas à la pop tendance disco. La Suède, c’est aussi l’électro !

Axwell naît en Suède. A neuf ans, il est déjà dans le rythme, derrière sa batterie. A treize ans, Axwell, pour la musique, n’a plus à dépendre des autres : au commande de son ordinateur, il peut jouer, seul, de tous les instruments ! Et là, à moins d’une panne ou d’un virus qui donne envie de s’arracher les cheveux et de balancer la machine par la fenêtre, la rupture n’est pas vraiment une perspective !

Avec son ordi, le DJ précoce remixe ses collègues et compose ses propres morceaux. Avec « Feel The Vibe », paru en 2004, cinq ans après « FunkBoy », Axwell devient véritablement un DJ qui compte : le monde ressent la vibe, même une good vibe. Plusieurs DJ, impressionnés par son talent, sont venus aider Axwell à se faire connaître, notamment Roger Sanchez. Le morceau, sur lequel tout le monde porte son attention, ressort avec une voix en supplément. Dans cette version, « Feel The Vibe » atteint la 16ème place des hit-parades britanniques.

Le succès est là. Le Suédois peut alors jouer souvent dans les lieux cultes du DJ : Ibiza, Miami, Londres, etc. Il peut aussi se permettre de remixer les DJ – et autres artistes - les plus reconnus. En 2005, par exemple, Axwell apporte sa touche personnelle à « Turn Up The Music » de Roger Sanchez ou à « Slipping Away » de Moby. En 2006, il s’occupe de « World, Hold On » de Bob Sinclar.

L’un des principaux résidents du « Queen », club de l’avenue des Champs-Élysées, fait monter la température du dancefloor avec « Calinda ». Mais son tube n’est pas tant un coup de chance qu’une habitude. Le DJ sait, avec plus ou moins le même succès, faire parler de lui, en dehors des platines. Avec ses ennuis de portable, il peut faire bouger la toile.

Laurent Wolf – à ne pas confondre avec un autre célèbre DJ du même prénom – débute sa carrière au début des années 90. Au « Queen », son son s’impose. Laurent Wolf, qui reste longtemps attaché au célèbre club parisien, joue aussi au-delà des frontières françaises.

En 1995, Laurent Wolf se lance dans la production avec succès : « House Train » se retrouve au sommet des hit-parades. De récidive en récidive, la notoriété du DJ s’accroît. Célèbre, il donne sa chance aux nouveaux talents en les signant sur ses propres labels. Son seul critère, c’est apprécier l’écoute du titre. Célèbre, Laurent Wolf joue à Bogota ou à Taiwan, et a des fans partout dans le monde.

Avec ses rythmes tribaux, il a de quoi remuer la planète. Dans les clubs, Laurent Wolf teste ses nouvelles productions. Les réactions des clubbers lui indiquent les modifications à apporter aux titres. Mais une fois que c’est fait, il n’y a plus rien à retoucher ! « Calinda » et « Saxo », extraits de « Positiv Energy », sorti en 2004, en sont la preuve. Sur le dancefloor, comme dans les charts, ils font un carton.

« Tech-House Clubbing », « Afro Dynamic », « Positiv Energy »… Malgré tous ses succès, Laurent Wolf doit penser, sinon à sa retraite, au moins à sa reconversion. Ne s’imaginant pas mixer jusqu’à 60 ans, il se voit bien compositeur de musiques de films. Ses sons électroniques viendraient illustrer des images de science-fiction ou donner un surplus d’émotion à des films dans l’esprit du « Grand Bleu », de « Solaris » ou du « Moulin Rouge ».

En attendant, il sort des compilations et des albums. Il fait aussi parler de lui sur Internet. La rumeur circule : Laurent Wolf, pendant une soirée, aurait perdu son portable, à la pointe de la technologie. Horreur ! Avec de nouvelles compositions enregistrées dans sa mémoire. Double horreur ! Le web est en émoi. Qui peut aider Wolf à retrouver son téléphone W800 ? Avec sa fausse perte, et son gros coup de pub pour Sony-Ericsson, Laurent Wolf a fait couler beaucoup d’encre. Son prochain album aura sûrement le même effet, mais seulement positif.

Son dernier album, l'excellent "Hollyworld", est sorti en juin 2006.